Promesse qu’on ne fait que pour violer – un consta un peu surréalistique ! La nature de la promesse et l’aspiration associée, se perd tout comme elle est rompue par une infraction émotive. L’amour redouble avec la promesse comme le désire rallume – ce poème en est un bon témoinage sans aucune ponctuation.
« La promesse » écrit par Adreyo Sen en bengali
traduit par Manas Basu
Je suis heureux que tu sois parti
Les draps de lit déchirés
Et l’absence de ta main
A travers mes seins
L’odeur rapide de l’après-rasage
Dans l’air
Et ton boxer
A mes pieds
Tout cela promet ton retour
Ta présence semble encore juste à côté
Un sourire timide vacille à tes lèvres
Et ce regard sur ton visage
De méfait
C’est toi qui en es le contrevenant
Tu ne m’as pas embrassé
Ni m’as ramené contre tes mains
Avec l’air d’une possession confuse
Mais toi, tu avances
Afin de te réparer
Et je suis heureux de rester au lit
En m’enveloppant dans ces draps en sachant
Que tu rentrais chez moi
Qu’est-ce qui m’arriverait comment
Sans promesse de ton retour ?
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might sound like a trite complaint: but this was never written in bengali :)
ReplyDeletethanks for the translation though, always wondered how i'd sound in french.
- adreyo sen (adreyopoetry.wordpress.com)