L'air sombre

Il y a quatre mois, J’ai du assister à un ami à sa côté dans l’hôpital pour trois jours. Pendant ces jours, et ces nuits en particulier, une sensation bizarre m’avait enveloppé… c’est l’ombre de la mort, sa présence presque partout et un désespoir accablant. Malheureusement, le médecin ne pouvait pas guérir le patient, il a été dans sa dernière étape du cancer de poumon.

L’ombre de la mort

Couchant au lit
Dans la cabine de l’hôpital
Je regarde le climatiser
Se calmant mon corps fatigué.

Aller et venir,
Dans le corridor –
Les sonores des pas
Seule l’existence de la vie
Autrement dort dans une mortuaire !

En attendant la mort
Je reviens à ma jeunesse –
L’odeur du champ vert ou
La patience avec la canne à pêche.

Je prie la mort alors
Souhaite qu’elle m’avale vite
En me faisant oublier des bons rêves.
Écœuré du monde pâle
Étouffé de négligence accablante.

Un désir sublime --
De ne pas vivre ici.
Le cœur est déjà torturé
Trahison qui me pique toujours.

Les enfants immobiles sous le tsunami Tohoku,
Les corps des innocents en Libye
Ou des embryons morts dans les ventres.
Une longue queue des passés –
L’ombre de la mort est visible partout.
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En plus des 'mangues', ceux qui sont connus comme les rois des fruits, il y a des ‘litchis’ et aussi les fruits comestibles de palmier qui s’appellent ‘taal-saans’ au Bengale-occidental. Comme le premier fruit, les deux autres sont les fruits d’été. Heureusement, il y a des grands jardins des mangues et des litchis dans notre petite ville Chandernagor. Donc, ici, on pourrait goûter ces fruits délicieux.
Voilà les images d'un jardin des litchis et des taal-saans prêt pour la vente.

Palme d'Or

« L’arbre de la vie » – ‘The tree of life’, un film américain, réalisé par Terrence Malick a remporté le prix la Palme d’or au 64e Festival de Cannes. Le titre du film suggère lui-même un peu philosophique : Être envahi par les mémoires douces d’enfance, le fils se souvient de l’amour de sa mère, le comportement dictatorial de son père lorsqu’il était le fils unique, lentement, une émancipation du cœur où un jeune tente de voir le monde avec plusieurs des questions pertinentes. Certes, le film est spirituel plutôt métaphysique où l’écrivain-cum-réalisateur, Terrence Malick, toujours élusif crée la magique.
Je n’ai pas encore vu ce film, mais a lu des revues pour avoir une idée des enjeux de trois protagonistes, Brad Pitt, Jessica Chastan et Sean Pann. Le mystère de la vie, cela la rend toujours attrayant ! Mais, c'est une victoire de la vie parfaitement.

Poète rebelle

Les Bengalies intellectuels ont toujours ignoré le poète rebelleKazi Nazrul Islam peut-être pour sa modeste origine ! Autrement, comment oublie-t-on que les poésies du poète avaient beaucoup inspiré les jeunes à mutiner contre les Britanniques au pouvoir pour lesquelles il a été emprisonné.
L’autre qualité qui est bien remarquable dans son ouvrage dont Nazrul Islam est complètement différente de son genre contemporain : mélange des mythes et des images d’hindouisme avec la prononciation de sa religion islam. Peut-être qu’aucune personne avant lui n’a tenté d’explorer ce sujet délicat pour réunir les deux sectes religieuses. Ce genre est plus manifesté dans ses chansons nommées ‘Nazrul Geeti’ où le poète a glorifié les Dieux hindous en exaltant également l’humanité. Ainsi, le poète Nazrul est très révolutionnaire.
Heureusement, le Bengale-occidental célèbre son 113e anniversaire avec grande fanfare, je rends mon hommage à ce grand poète rebelle.

Le mot ‘Geronimo’

Il y a vingt-quatre jours nets que les États-Unis ont tué le plus grand terroriste du monde en envahissant le Pakistan, le refuge des tous djihadistes islamiques. L’opération américaine de cette attaque audacieuse sous le nom de code « Opération GERONIMO » celle qui a évoqué beaucoup de critiques parmi les anciens habitants de l’Amérique. Geronimo, un rebelle indigène américain de la région Arizona du sud-ouest des États-Unis au XIXe siècle qui avait combattu le Mexique et les États-Unis contre leur programme d’expansionnisme. Dans sa vie, Geronimo, lui est devenu un caractère mythique qui « ne laisse jamais aucune preuve derrière son départ ». It est très disputable comment un État multirégional compare un terroriste craint avec un héros des tribus indigènes Amériques qui montre la disposition des Américains en général envers leurs ancêtres ! Quel détestable ! Inévitablement, cela a déjà évoqué une forte protestation parmi les anciennes tribus. Donc, GERONIMO est arrivé encore une fois à traquer les États-Unis.

Changement du climat

‘Varun devta’, c'est-à-dire le dieu d’eau est très généreux cette année, on reçoit beaucoup de pluies non seulement dans la région de l’est mais aussi presque à la campagne entière ! Même la région du nord de l’Inde a déjà témoigné assez de l’eau de pluie, la vague de chaleur infâme à Delhi en avril-mai est vraiment absent. Une belle aberration tout à fait. Quelle proclamation du slogan actuel au Bengale-occidental, ‘parivartan’ (« le changement » en français dans l’administration civile) !
La photo du ciel nuageux avant d’une pluie torrentielle prise du toit de ma maison il y a quatre jours !

Une nostalgie

Des pièces de 25 paises (division de la roupie indienne) n’auront plus en Inde dès le 30 juin ! Après la pièce de 10 paises…la pièce de 25, c’est son tour maintenant et donc la pièce de 50 paise serait la seule pièce pour l’opération commerciale ! Toutes les entrées dans les livres de comptes et aussi le paiement seraient arrondis à la pièce de 50 paises ou à une roupie à la fin du juin.
Je me souviens d’une belle mémoire de ces pièces de métal de 25 paises : En 1974-75 lorsque j’allais au lycée, ma mère me donnait deux pièces de 25 paises comme le ‘frais poche par jour’ ! Quelque fois cela augmentait à une autre pièce de métal de 25 paise, mais une roupie totale, ce n’est pas du tout !
Donc, je suis un peu nostalgique comme cette pièce de métal va abolir maintenant! Heureusement, mon vieux père a gardés toutes les pièces anciennes déjà disparues, c'est-à-dire les pièces de 1 paise, de 2 paises, de 5 paises et de 10 paises.

Proactive la Cour suprême

Est-ce possible que la Cour suprême devrait prendre toujours position ‘proactive’ sur des choses administratives ? Parait-il que l’État laisse tomber misérablement au sujet de l’administration civile : traquer d’énorme l’argent planqué à l’étranger, distribuer les alimentations céréales aux pauvres au lieu d’être pourri aux grands réservoirs, accélérer vigoureusement l’enquête du Spectrum 2G pour n’en citer que quelques-uns.
Le dernier verdict de cour suprême celui qui a soulagé beaucoup les environnementalistes, les médecins et surtout la population en général c’est l’interdiction de l’usage du pesticide endosulfan de genre très toxique ! La disponibilité facile de ce mauvais pesticide dans le marché et son massif usage dans la production des céréales a déjà fait une situation horrible à la santé indienne ! Les protestations rauques contre leur utilisation ne pouvaient rien produire. C’est la Cour suprême seule qui a réussi à dompter le monstre endosulfan, merci le Jury !

Une grande chute

La bataille de l’élection au Bengale occidental est finie hier midi comme le résultat est fait connaitre. Le régime du Parti communiste indien (marxiste) au pouvoir de 34 ans d’affilée a perdu à un jeune parti régional au titre le Congrès Trinamool (le mot indique le peuple ordinaire) dirigée par une grande lutteuse, Mamta Banerjee ! Ainsi, c’est la fin d’une longue époque de la gouvernance marxiste peut-être le plus vieux gouvernement communiste au monde !
Son populaire slogan, ‘Maa, Mati, Manush’ – ‘la mère, la terre, l’être-humain’ a impressionné tout le monde au milieu des publicités élections d’environ trois mois ! Mamata et ses partenaires alliances ont pris 221 sièges de l’assemblée législative sur 294 alors le parti marxiste et ses alliances n’ont que obtenu 67 sièges ! Une grande chute du sommet ! Quel dommage !
Voilà la photo de nouveau chef ministre du Bengale occidental, Mamta Banerjee.

Chute d'une légende

Badal Sirkar, une grande personnalité du théâtre indien est mort aujourd'hui à l’âge de 86 ans lorsque tout le monde s’occupait du résultat de l’élection du Bengale-occidental.
Dans les années soixante-dix, Sirkar nous a ému par ses drames et sa nouvelle direction en écrasant le proscénium (‘avant-scène’ d’un théâtre qui sépare les joueurs et ses spectateurs). Fondateur du théâtre de rue en Inde et un rebelle né dans sa pensée, il a dédié environ 40 ans pour parfaire ses diverses expérimentations sur le thème de ‘la performance pour le peuple’ contre les sales de théâtre établies. Dès le début, Sirkar avait exposé son penchant pour des choses anti-établissement et donc étaient très populaire parmi les jeunes intellectuels bengalies.
Le thespian a écrit plus de 50 pièces dont ‘Ebang Indrajit’, ‘Pagla Ghora’, ‘Basi Khabar’, ‘Baaki Itihaash’ et ‘Bollavpurer Rupkatha’ sont très renommés. Heureusement, j’avais vu ses quatre pièces celles qui avaient réussi à attirer les spectateurs du début à la fin. Presque tous ses drames montrent la vie émouvante ‘post-indépendance’, ceux qui réfléchissent l’image de la société inquiétante à ce moment-là.
Mes hommages respectueux au ce grand expérimentateur de théâtre indien !

Festival de Cannes 2011

Quelle nouvelle fera la priorité : le Festival de Cannes, la chute du régime communiste au Bengale occidental ou l’interdiction de l’utilisation du pesticide polluant endosulfan en Inde par la Cour suprême.
Comme le 64e festival de Cannes commence ce jour, il est plus utile de mentionner quelques nouvelles : Le célèbre réalisateur italien, Bernardo Bertoclucci est honoré spécialement. Robert de Niro, le président du jury et ses 7 membres choisiront le meilleur film parmi les vingt films dont quatre français, qui prendra le prix Palme d’Or. Malheureusement, cette fois aussi, il n’y a aucune entrée de film indien ! Ce festival prestigieux dura pour dix jours et se terminera le 22 mai. L’actrice indienne, Aisharwya Rai Bachhan est une autre personne qui ajoute la grâce du Festival de Cannes.

Épreuve de l'exam

Avec l’élection des 14 sièges de l’Assemblée législative, la dernière phase, c'est-à-dire la sixième partie de l’élection au Bengale-occidental est terminée aujourd’hui...une grande trajectoire pour soutenir la démocratie dans cette région qui a débuté depuis le 18 avril !
Déjà des sondages faits à la sortie des urnes, le gouvernement au pouvoir actuel va tester sa défaite à l’élection après un grand parcours de 34 ans d’affilée depuis 1977 ! Il est plus satisfaisant qu’environ 87% des jeunes ont voté sans aucune crainte ni coercition pour élire leur gouvernement pour les cinq prochaines années. En Inde, la démocratie est bien enracinée sur place comme chacune des élections régionales est prise.
Enfin à attendre le résultat le 13 mai !

Fête de la mère

On commémore la fête de la mère, pourquoi ? Il est estimé en Inde que la période entière de la grossesse, c'est-à-dire porter le bébé dans le ventre d’une femme pour 9 mois…depuis l’embryon, la formation du fœtus et puis l’accouchement, c’est faire le sacrifice extrême d’une femme pour son bébé. Donc, c’est l’acte unique pour lequel un bébé est toujours redevable à sa mère. Nous les Indiens sommes très conscients de ce cordon ombilical entre la mère et son bébé !
J’aime ma mère qui est âgée de 78 ans maintenant. Tous les parents habitent avec nous. Elle ne pouvait pas faire aucun ménage, mais son visage toujours souriant et content me donne assez de satisfaction ; les fils en Inde par devoir s’occupent toujours de ses parents âgés comme un concept traditionnel indien.
A cette occasion de la fête de la mère, je déclare mes hommages à toutes les mères du monde.

Tagore - mon inspiration

151ième anniversaire du Nobel lauréate, RabindranathTagore tombe ce jour. Heureusement, les deux pays l’Inde et le Bangladesh ont décidé de le commémorer conjointement toute l’année. Le lien commun entre les deux pays est aussi rare : leurs différents hymnes nationaux ont écrits par le même poète en bengalie et c’est le grand Tagore. Sans doute, les Bngladeshies sont plus alertes que les Indiens en défendant leur langue maternelle, c'est-à-dire la langue bengalie.
La nature, l’amour et la paix – ceux sont les caractéristiques essentielles dans l’écriture du poète. Un fort croyant de l’humanité, Tagore a toujours déclaré son affirmation vers elle au milieu des anarchies symptomatiques à cette époque-là. Le rapport mystère et compliqué entre l’homme et la femme est un autre véhicule de ses ouvrages dans lequel il avait spécialisé de toute sorte.
Il est certain qu’on n’a pas encore exploré toutes mines d’écrits de l’auteur Tagore.
A cette occasion importante, je rends mon hommage à lui avec la traduction d’une de ses poèmes :

La brise de l’est//traduit par Manas Basu

La brise de l’est me balance doucement,
Les ondulations embrassent la rive de mon cœur semblable au fleuve.
Je passe mon temps en solitude à ne faire rien…en attendant,
En attendant votre bateau de mélodie à arriver avec ses voiles à flot.
Mon angoisse surmonte la rive, cela écrase les écueils.
Mon cœur ne reconnait ni le sommeil ni le réveil.
Mes chansons se mêleront à celles des vôtres au bord d’une rive infinie,
Pour mener un déluge musical ce soir.

Breeze from the east//Rabinranath Tagore/Traduit par S Chakraborty en anglais

Breeze from the east rocks me tenderly;
Ripples kiss the shore of my river-like heart.
I idle away my time alone, waiting,
Waiting for your boat of melody to arrive with sails aflutter.
My agony overwhelms the shore, overcomes the obstacles.
My heart knows no sleep, nor awakening.
My songs will mingle with yours in an endless shore,
To bring the musical deluge this night.

(Pub Hawete Dei Dola – Prakiti -82 – Rabindranath Tagore)

Le poème en bengalie:
পূব-হাওয়াতে দেয় দোলা আজ মরি মরি।
হৃদয়নদীর কূলে কূলে জাগে লহরী।।
পথ চেয়ে তাই একলা ঘাতে বিনা কাজে সময় কাটে,
পাল তুলে ওই আসে তোমার সুরেরই তরী।।
ব্যথা আমার কূল মানে না, বাধা মানে না।
পরান আমার ঘুম জানেনা, জাগা জানে না।
মিলবে যে আজ অকূল-পানে তোমার গানে আমার গানে,
ভেসে যাবে রসের বানে আজ বিভাবরী।।

Bruit de la pluie

Le mois mai nous va soulager aussi, il y a déjà deux orages (Kalbaisakhi en bengalie) à cause de la dépression du golfe de Bengale. Le changement du climat est bien évident…Ou est-ce que c’est un prélude de la mousson tardive ? Mais pour le moment, les cultivateurs sont heureux ainsi que les habitants de la région humide.
La pluie est ma favorite, j’aime beaucoup me mouiller dans la pluie, les sonores des goûtes de pluie sur les feuilles d’arbres me apportent des messages d’amour, de tristesse et de solitude. L’orage soudain d’avant-hier matin m’a encouragé de poster un poème à moi écrit il y a quelques ans qui réfléchit parfaitement mon sentiment.

‘Bruit de la pluie’ par Manas Basu

Toupe…..Tape…..Toupe…
Mélodieux bruit de la pluie
Sur les grandes feuilles de banane
Comme si deux amants s’occupés
De leurs bavardages éternels.

Le bruit change brusquement
La pluie est ainsi dite sensuelle
Pour toucher la terre et pour
Se baigner avec l’amour
Comme deux âmes ont soifs pour rapports.

Après l’été arrive la pluie
A apaiser son amant fâché
Maintenant ils dorment ensemble.
En embrassant fortement l’un à l’autre
Deux âmes sont tellement silencieuses.

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‘Sound of Rain’ by Manas Basu

Toupe…..Tape…Toupe….
Melodious sound of rain
On the big leaves of banana
As if two lovers are engaged
In their endless fun.

Suddenly that sound changes
Because rain is sensuous
To touch the earth and
To bathe with her lover
As two souls are searching for each other.

After the summer, rain arrives
To pacify her angry lover
Now they sleep together
Engulfing each other deeply
Two souls are equally silent.

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Au milieu de la trajectoire

La quatrième phase de l’élection d’Assemblée législative du Bengale oriental est passée sans aucun tracas sérieux. Il est évident que plus de 85% des gens ont voté jusqu’à présent et c’est un record soi-même. La tendance de ‘faux vote’ est vraiment absente cette fois pour laquelle la Commission Électorale de l’Inde s’attribue le mérite.
Voilà la longue queue qui témoigne à l’enthousiasme des électeurs mardi 3 mai !

Un grand anniversaire

C’est le 90ième anniversaire de Satyajit Roy, l'écrivain et réalisateur de renommé internationale. Il y a une poignée des Bengalis dont Ray est très populaire aux jeunes celle qui nous rend très fiers . Sandip Ray, le fils de Satyajit Ray a annoncé de réaliser un film sur un roman policier de la populaire série Feluda écrit par son père illustre. Appelé sous le nom de « Fais attention au cimetière », ‘Caution in the graveyard’ en anglais ou ‘Gorosthaney Sabdhan’ dans l’origine bengalie, cela serait le sixième tournage de la série Feluda dont lesquels Ray a réalisé les deux et les autres par son fils, Sandip, un célèbre cinéaste lui-même. Les cinéphiles de toute catégorie d’âges attendront avec impatience la sortie du film.
Certainement, cette annonce est le meilleur hommage à ce grand homme extraordinaire !

Ruminer sur la Fête du Travail

125 ans se sont passés depuis la première attaque physique aux États-Unis sur des travailleurs en demandant la limitation de la journée du travail à huit heures et cette histoire était vraiment sanglante ! On n’est pas sûr si l’importance de l’observation de la fête du travail a augmenté ou non. Soit en Inde soit en France soit en Chine, les travailleurs se sont sentis toujours menacés surtout à cause de la mondialisation économique, la tentation de gagner plus s'est presque écroulée la limitation de la journée du travail. Que fait-on ?