Le 22 shravana au calendrier Bengali (le 9 août cette année) est toujours un jour important pour les bengalis de l’inde ainsi que le Bangladesh, le pays voisin. Le Nobel lauréat, Rabindranath Tagore, le plus grand icône d’Asie jamais produit, lui est mort il y a 72 ans. Le gouvernement régional a décidé d’en bien commémorer. Heureusement, le pays entier organise divers programmes en 2011 à la mémoire de 150e anniversaire de grand poète Rabindranath.
A cette grande occasion d’hommage, je présente mon hommage en postant une traduction de sa célèbre chanson, ‘Jakhone porbé naa more payére chinya ei bate’ (Quand je ne pourrais pas ravenir à cette rive), chacune des lignes est si significative et si éloquente qui transmettent toutes les barrières – une promesse de revenir après la mort.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive,
Je ne ramerais pas, je ne ramerais plus le bateau de ma vie,
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive.
Je terminerais toutes mes dettes, récompenserais tout,
Je terminerais toutes les activités de la vie,
Le marché du monde serait fermé pour moi,
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive…..
Quand des poussières couvriraient les cordes du sarode,
Les arbustes d’épine, les arbustes d’épine naitraient aux portes,
Eh, des poussières couvriraient l’instrument sarode,
Le jardin serait déserté comme les herbes l’engloutiraient,
Les arbustes d’eau pollueront le grand étang –
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive…..
A ce moment-là, la flûte fredonnerait dans le monde,
Les jours se passeraient comme d’habitude,
Ces jours se passeraient comme aujourd’hui...
Bon, la flûte fredonnerait dans le monde,
Les nouveaux bateaux jetteraient l’ancre au port…
La lumière du soleil s’éclairait ce matin,
Les vaches brouteraient et les bergers joueraient à ce champ.
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
A ce moment-là, qui dirait que je ne verrais pas cette l’aube-là,
Je participerais à tous les jeux, oui à toutes les joies,
Eh, qui dirait que je ne verrais pas cette l’aube-là,
On m’appellerait d‘un nouveau nom, m’embrasserait,
On m’embrasserait par les nouvelles mains,
Moi, je continuerais mon voyage dans le nouveau monde.
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive…..
A cette grande occasion d’hommage, je présente mon hommage en postant une traduction de sa célèbre chanson, ‘Jakhone porbé naa more payére chinya ei bate’ (Quand je ne pourrais pas ravenir à cette rive), chacune des lignes est si significative et si éloquente qui transmettent toutes les barrières – une promesse de revenir après la mort.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive,
Je ne ramerais pas, je ne ramerais plus le bateau de ma vie,
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive.
Je terminerais toutes mes dettes, récompenserais tout,
Je terminerais toutes les activités de la vie,
Le marché du monde serait fermé pour moi,
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive…..
Quand des poussières couvriraient les cordes du sarode,
Les arbustes d’épine, les arbustes d’épine naitraient aux portes,
Eh, des poussières couvriraient l’instrument sarode,
Le jardin serait déserté comme les herbes l’engloutiraient,
Les arbustes d’eau pollueront le grand étang –
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive…..
A ce moment-là, la flûte fredonnerait dans le monde,
Les jours se passeraient comme d’habitude,
Ces jours se passeraient comme aujourd’hui...
Bon, la flûte fredonnerait dans le monde,
Les nouveaux bateaux jetteraient l’ancre au port…
La lumière du soleil s’éclairait ce matin,
Les vaches brouteraient et les bergers joueraient à ce champ.
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
A ce moment-là, qui dirait que je ne verrais pas cette l’aube-là,
Je participerais à tous les jeux, oui à toutes les joies,
Eh, qui dirait que je ne verrais pas cette l’aube-là,
On m’appellerait d‘un nouveau nom, m’embrasserait,
On m’embrasserait par les nouvelles mains,
Moi, je continuerais mon voyage dans le nouveau monde.
Ne me rappelez pas alors à ce moment-là,
Ne me rappelez pas en regardant les étoiles.
Quand je ne pourrais pas revenir à cette rive…..
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