Tuesday, March 14, 2017
Sunday, March 12, 2017
Fête de printemps !
Fête
des couleurs, c'est-à-dire, La HOLI, est une grande fête indienne aujourd’hui. Annonçant
l’arrivée du printemps, cette fête est également très houleuse en sens qu’aucune
personne hindoue ne s’est échappée des pigments de couleur jetant l’un à l’autre.
Plaisir et fiesta est le thème de l’Holi et tout sens.
Malheureusement, chez nous, une sorte de manque d’éclate règne
maintenant, Gauri a tout à coup perdu sa mère la soirée du 6 de cette semaine à
cause d’arrêt cardiaque sévère, elle avait 81 ans. Gauri a perdu ses deux parents
dans une période de 9 mois – son père en juin l’année dernière et maintenant sa
mère. Avec cela, j’ai également perdu l’une de mes affectueuses seniors, une
grande perte pour moi !
Voilà
un collage des images différentes – alors deux images montrent la couverture de
corps avec des pigments de couleur, un stand sur la route expose ses marchandises
sur l’occasion.
Monday, March 6, 2017
Mine de connaissance !
Le
site web le plus vu dans le monde est de site d’Wikipedia, c’est
aussi vrai dans mon cas. Chaque jour il
me faut ouvrir ce site pour certain objectif ou référence. La page d’Wikipedia
fournit également des liens importants avec lesquels on peut obtenir au moins une
idée de n’importe quelle chose.
Depuis
sa naissance en janvier 2001 Wikipedia est alimenté par des volontaires
à travers le monde qui fonctionne comme une encyclopédie multilingue en cours
dont laquelle toute personne peut contribuer librement sans offenser personne. Le
site fonctionne encore avec brio parmi des hoquets initiaux.
Wednesday, March 1, 2017
Artiste extraordinaire !
Un artiste extraordinaire de notre pays voisine, le Bangladesh était le
premier étranger séjournant comme un artiste-dans-la-résidence du Président de
l’Inde. Nommé Ahmed Shahbuddin, cet invité distingué et le combattant de la
liberté du Bangladesh a exposé son exposition de quatre jours au Musée national
de l’Inde à Rashtrapati Bhavan (résidence officielle du président de l’Inde) à
la mi-février. Shahbuddin est un célèbre
artiste peintre est élu l’un des 50 maîtres de l’art contemporain à Barcelone
en 1992 ! Il vit à Paris depuis 1974. Voilà une image d’Ahmed exposé à
Rastrapati Bhavan.
Saturday, February 25, 2017
Poème en forme original !
অভিসার // রবীন্দ্রনাথ ঠাকুর
সন্ন্যাসী উপগুপ্ত
মথুরাপুরীর প্রাচীরের তলে
একদা ছিলেন সুপ্ত--
নগরীর দীপ নিবেছে পবনে,
দুয়ার রুদ্ধ পৌর ভবনে,
নিশীথের তারা শ্রাবণগগনে
ঘন মেঘে অবলুপ্ত।
কাহার নূপুরশিঞ্জিত পদ
সহসা বাজিল বক্ষে!
সন্ন্যাসীবর চমকি জাগিল,
স্বপ্নজড়িমা পলকে ভাগিল,
রূঢ় দীপের আলোক লাগিল
ক্ষমাসুন্দর চক্ষে।
নগরীর নটী চলে অভিসারে
যৌবনমদে মত্তা।
অঙ্গ আঁচল সুনীল বরন,
রুনুঝুনু রবে বাজে আভরণ--
সন্ন্যাসী-গায়ে পড়িতে চরণ
থামিল বাসবদত্তা।
প্রদীপ ধরিয়া হেরিল তাঁহার
নবীন গৌরকান্তি--
সৌম্য সহাস তরুণ বয়ান,
করুণাকিরণে বিকচ নয়ান,
শুভ্র ললাটে ইন্দুসমান
ভাতিছে স্নিগ্ধ শান্তি।
কহিল রমণী ললিত কণ্ঠে,
নয়নে জড়িত লজ্জা,
ক্ষমা করো মোরে কুমার কিশোর,
দয়া করো যদি গৃহে চলো মোর,
এ ধরণীতল কঠিন কঠোর
এ নহে তোমার শয্যা।'
সন্ন্যাসী কহে করুণ বচনে,
"অয়ি লাবণ্যপুঞ্জ,
এখনো আমার সময় হয় নি,
যেথায় চলেছ যাও তুমি ধনী,
সময় যেদিন আসিবে আপনি
যাইব তোমার কুঞ্জ,'
সহসা ঝঞ্ঝা তড়িৎশিখায়
মেলিল বিপুল আস্য।
রমণী কাঁপিয়া উঠিল তরাসে,
প্রলয়শঙ্খ বাজিল বাতাসে,
আকাশে বজ্র ঘোর পরিহাসে
হাসিল অট্টহাস্য।
...
বর্ষ তখনো হয় নাই শেষ,
এসেছে চৈত্রসন্ধ্যা।
বাতাস হয়েছে উতলা আকুল,
পথতরুশাখে ধরেছে মুকুল,
রাজার কাননে ফুটেছে বকুল
পারুল রজনীগন্ধা।
অতি দূর হতে আসিছে পবনে
বাঁশির মদির মন্দ্র।
জনহীন পুরী, পুরবাসী সবে
গেছে মধুবনে ফুল-উৎসবে--
শূন্য নগরী নিরখি নীরবে
হাসিছে পূর্ণচন্দ্র।
নির্জন পথে জ্যোৎস্না-আলোতে
সন্ন্যাসী একা যাত্রী।
মাথার উপরে তরুবীথিকার
কোকিল কুহরি উঠে বারবার,
এতদিন পরে এসেছে কি তাঁর
আজি অভিসাররাত্রি?
নগর ছাড়ায়ে গেলেন দণ্ডী
বাহিরপ্রাচীরপ্রান্তে।
দাঁড়ালেন আসি পরিখার পারে--
আম্রবনের ছায়ার আঁধারে
কে ওই রমণী প'ড়ে এক ধারে
তাঁহার চরণোপ্রান্তে!
নিদারুণ রোগে মারীগুটিকায়
ভরে গেছে তার অঙ্গ--
রোগমসীঢালা কালী তনু তার
লয়ে প্রজাগণে পুরপরিখার
বাহিরে ফেলেছে, করি' পরিহার
বিষাক্ত তার সঙ্গ।
সন্ন্যাসী বসি আড়ষ্ট শির
তুলি নিল নিজ অঙ্কে--
ঢালি দিল জল শুষ্ক অধরে,
মন্ত্র পড়িয়া দিল শির-'পরে,
লেপি দিল দেহ আপনার করে
শীতচন্দনপঙ্কে।
ঝরিছে মুকুল, কূজিছে কোকিল,
যামিনী জোছনামত্তা।
"কে এসেছ তুমি ওগো দয়াময়'
শুধাইল নারী, সন্ন্যাসী কয়--
"আজি রজনীতে হয়েছে সময়,
এসেছি বাসবদত্তা!'
Friday, February 24, 2017
Poème en français !
Rendez-vous
gagnant
– Un poème écrit par
Rabindra Nath Tagore et traduit par Manas
Kumar Basu
Un moine appelé Upagupta
S’était endormi au bord de la route
dans une ville fortifiée Mathura –
Lumières là étaient éteintes par les vents,
alors les citadins restaient à l’intérieur,
Les nouages noirs de mousson
enveloppent le ciel
étoilé.
Soudan les sonores jingles des chaînes
de cheville étaient étendus à côté !
Le moine s’est brusquement réveillé,
Les
réflexions de rêve disparaissaient soudan.
Ses yeux pitiés étaient brillés
par une lampe lumineuse.
La danseuse du palais, qui était
séduisante avec exubérance
marchait sur
le chemin de son amant. Richement vêtue
avec des bijoux,
réverbérés avec le son mélodieux -
Elle
s’arrêtait au moine de s’excuser,
ses pieds sont tombés sur lui.
Elle regardait ce jeune moine au teint mat
à la lampe de
son main -
Ce gentil jeune était toujours souriant,
aux yeux charitables mais rayonnants,
Dont le
visage clair s’assurait
des
bienveillances s’infiltraient partout.
Avec ses yeux gênés elle disait
avec sa voix mélodieuse,
«Excusez-moi, jeune moine, s’il vous plait,
Veuillez-vous venir chez moi,
On ne restait pas sur ce trottoir dur
car cela vous blesse.»
Le moine répondait avec une voix triste,
«Oh belle, il
n’est pas le temps propre
à vous accompagner, il vaut mieux que
vous allez
où vous planifiez à visiter avec vos
riches décorations. Lorsque le temps
propre vient,
j’irais chez vous moi-même».
Une tempête aux éclairs frappait
tout à coup le champ entier.
La femme tremblait de la peur
Comme les tonnerres rugissaient
sinistrement pour
dénoncer de l’ironie
sombre des incertitudes de la vie humaine.
------------
La mousson n’est pas encore finie
qu’une soirée de mois Chaitra arrive.
Les vents sont ardemment excités,
des boutons fleurissaient sur chacun
des arbres.
Et des fleurs parfumées
manifestaient leur esprit partout.
Les sonores intoxicantes de flûtes étaient
étendues au
loin comme passaient les
vents lentement.
La ville était désertée,
les
citadins assemblaient dans la forêt pour
témoigner la fête de printemps -
La pleine
lune révélait sa beauté alors
elle observait la ville déserte en
silence.
Le moine allait seul sur une route désolée,
c’était une
nuit de pleine lune.
Les oiseaux chantaient des arbres
supérieurs de temps en
temps.
Est-ce que ce rendez-vous gagnant
arrivait finalement
après si longtemps ?
Le moine traversait la ville, Et allait à
l’extérieur du mûr de la ville. S’arrêtait
finalement devant les douves -
Comme il voyait une femme restait sur
le
trottoir sous un arbre de mangue.
Qui
était cette femme restait près de ses pieds !
Frappé par la variole mortelle qui
l’avait complètement défiguré –
Son corps
entier devenait noir profond.
Les citadins l’avaient jeté en dehors
des douves afin de
se protéger
de la maladie infectieuse et mortelle.
Le moine s’asseyait et plaçait sa tête
sur ses genoux –
Et versait l’eau dans sa bouche sèche,
Essuyait son cheveu avec des prières,
Embaumait son corps avec des pétales
de fleurs comme des confettis.
chantaient alors la nuit se baignait de la
pleine lune. «Qui êtes-vous, mon maître?»
a criée la femme. Le moine répondait,
«Une fois vous m’invitais, voilà Basabdutta,
j’y arrive pour vous.»
Thursday, February 23, 2017
Entrevue amoureuse !
Un écrit extraordinaire en langue Bengali par le lauréat du prix Nobel, Rabindra
Nath Tagore – Rendez-vous en deux occasions mais pour les
deux raisons différentes ! Alors la
danseuse séduisante est charmée par le corps ravissant du moine ; à l’ironie
de destin, la situation est complètement inversée lorsque le moine rencontre la
danseuse malade et lui offre à soigner. Le moine a vraiment atteint le Nirvana avec
son dévouement total pour les infortunés.
The Tryst
– A translation of Tagore’s poem,
‘Abhisar’ by Manas Kumar Basu
A monk named Upagupta
fell asleep by the roadside
in the walled City of Mathura –
City lights went out by the winds,
While citizens preferred to stay
inside,
Night sky is fully enveloped by
dark monsoon clouds.
All on a sudden jingle sound of
someone’s anklet was heard near!
The monk was awaken abruptly,
Dreamy thoughts were gone suddenly,
His merciful eyes were lightened by
A bright lamp
City dancer Basabdatta effusively
seductive on way to her paramour.
Richly clad with the ornaments,
reverberated with melodious sound -
She stopped to apologize to the
monk as
her feet fell on him.
She looked at the fair-complexioned
young monk with a lamp at her hand –
He was a gentle ever-smiling young,
With his merciful but beamy eyes,
Whose clean face assures
An all-pervading forgiveness.
With ashamed eyes, she uttered
with melodious voice,
“Forgive me please young monk,
Please come along with my home,
You should not lie on this rough place
as it hurt your physique”.
The monk replied with a saddened voice,
“Oh belle, it is not the time to go
with you,
better you go there where you plan
to visit with your rich decoration,
When the right time will come
I’ll go to your home on my own.”
All on a sudden storm with lightening
struck the entire field.
The lady shivered as fear grips
As the thunder roared ominously,
As if to decry at the dark irony
of the
uncertainties in human life.
------------
Monsoon is not yet over,
comes one Chaitra evening.
Here the wind is eagerly excited,
Buds are blooming in every tree,
And fragrant flowers are showing
Their spirits everywhere.
Intoxicating sound of flutes is heard afar
as
the wind slowly passes by.
City is empty, citizens are gathered
in
the forest to observe spring festival –
While full moon exposes its beauty
as it silently
observes the emptied city.
The monk was walking alone on a
deserted street on a moonlight night.
Cuckoo from the upper trees were
singing time and again,
is that his night of tryst has finally
arrived after such a long time?
The monk crossed the city,
And went outside the city wall.
Stopped near a moat finally –
As he saw a woman lying on
the roadside under a mango
shade
Who was that lady lying near his
feet!
That has disfigured her completely-
Her whole figure became charcoal black
Citizens threw her outside the moat
To save themselves from her
deadly infectious disease.
The monk sat down and placed her
head resting
her upon his lap -
And poured
water in her dried mouth,
Wiped her head with his prayer,
Embalmed her body with the
petals of
flowers like confetti.
Buds were falling as cuckoos were singing;
the night was bathing with moonlit.
Who
are you, my Lord?’ cried the woman,
the
monk replied, Once you invited me
to your home, here comes now
Basabdutta, to
you I have come!’
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