Rendez-vous
gagnant
– Un poème écrit par
Rabindra Nath Tagore et traduit par Manas
Kumar Basu
Un moine appelé Upagupta
S’était endormi au bord de la route
dans une ville fortifiée Mathura –
Lumières là étaient éteintes par les vents,
alors les citadins restaient à l’intérieur,
Les nouages noirs de mousson
enveloppent le ciel
étoilé.
Soudan les sonores jingles des chaînes
de cheville étaient étendus à côté !
Le moine s’est brusquement réveillé,
Les
réflexions de rêve disparaissaient soudan.
Ses yeux pitiés étaient brillés
par une lampe lumineuse.
La danseuse du palais, qui était
séduisante avec exubérance
marchait sur
le chemin de son amant. Richement vêtue
avec des bijoux,
réverbérés avec le son mélodieux -
Elle
s’arrêtait au moine de s’excuser,
ses pieds sont tombés sur lui.
Elle regardait ce jeune moine au teint mat
à la lampe de
son main -
Ce gentil jeune était toujours souriant,
aux yeux charitables mais rayonnants,
Dont le
visage clair s’assurait
des
bienveillances s’infiltraient partout.
Avec ses yeux gênés elle disait
avec sa voix mélodieuse,
«Excusez-moi, jeune moine, s’il vous plait,
Veuillez-vous venir chez moi,
On ne restait pas sur ce trottoir dur
car cela vous blesse.»
Le moine répondait avec une voix triste,
«Oh belle, il
n’est pas le temps propre
à vous accompagner, il vaut mieux que
vous allez
où vous planifiez à visiter avec vos
riches décorations. Lorsque le temps
propre vient,
j’irais chez vous moi-même».
Une tempête aux éclairs frappait
tout à coup le champ entier.
La femme tremblait de la peur
Comme les tonnerres rugissaient
sinistrement pour
dénoncer de l’ironie
sombre des incertitudes de la vie humaine.
------------
La mousson n’est pas encore finie
qu’une soirée de mois Chaitra arrive.
Les vents sont ardemment excités,
des boutons fleurissaient sur chacun
des arbres.
Et des fleurs parfumées
manifestaient leur esprit partout.
Les sonores intoxicantes de flûtes étaient
étendues au
loin comme passaient les
vents lentement.
La ville était désertée,
les
citadins assemblaient dans la forêt pour
témoigner la fête de printemps -
La pleine
lune révélait sa beauté alors
elle observait la ville déserte en
silence.
Le moine allait seul sur une route désolée,
c’était une
nuit de pleine lune.
Les oiseaux chantaient des arbres
supérieurs de temps en
temps.
Est-ce que ce rendez-vous gagnant
arrivait finalement
après si longtemps ?
Le moine traversait la ville, Et allait à
l’extérieur du mûr de la ville. S’arrêtait
finalement devant les douves -
Comme il voyait une femme restait sur
le
trottoir sous un arbre de mangue.
Qui
était cette femme restait près de ses pieds !
Frappé par la variole mortelle qui
l’avait complètement défiguré –
Son corps
entier devenait noir profond.
Les citadins l’avaient jeté en dehors
des douves afin de
se protéger
de la maladie infectieuse et mortelle.
Le moine s’asseyait et plaçait sa tête
sur ses genoux –
Et versait l’eau dans sa bouche sèche,
Essuyait son cheveu avec des prières,
Embaumait son corps avec des pétales
de fleurs comme des confettis.
chantaient alors la nuit se baignait de la
pleine lune. «Qui êtes-vous, mon maître?»
a criée la femme. Le moine répondait,
«Une fois vous m’invitais, voilà Basabdutta,
j’y arrive pour vous.»
No comments:
Post a Comment