Monday, March 5, 2012

Un grand exemple de l’humanité

Avant de partir pour les Îles Andaman et Nicobar demain matin, je poste une l’histoire d’humanité, un reportage publié au journal bengali, ‘The Anandabazar’ il y a quelques jours. C’est un événement très rare dans un terrain hostile à la campagne où l’on se trouve toujours difficile à passer la vie normale…manque de l’eau potable, de l’éducation propre, des sanitaires et surtout la pauvreté misérable se répandue. Au milieu de cette condition misérable, le prof est comme un véritable oasis se portant secours des enfants les plus démunis.
On voit l'image du Prof Amal avec ses bons étudiants!

Je reviendrai chez moi le 14 mars et au revoir jusque-là !

Un grand exemple de l’humanité
– reportage par Sukanta Sarkar à Basanti , translittéré par Manas Basu

Monsieur Amal, professeur des écoles prend soin des pauvres écoliers chez lui. Il continue à lutter contre la pauvreté depuis plus de deux dernières décennies. Simple nourriture pour des pauvres enfants ou des orphelins, leur enseignement et leurs chahutes, c’est sa mode de manifestation contre le système social courant. Il tente toujours de faire leur ’Aller bien’ au milieu de pauvreté.

Amalkrishna Pandit, le prof des écoles à Maheshpur Yasoda Vidyapith a accepté un ‘défi’ – élever proprement les pauvres enfants ceux qui arrivent de différents villages dans la région des Sundarbans, la plus grande forêt de mangrove du monde. Les ressources ne sont que des terres agricoles familiales, une maison aux cinq petites et grandes pièces et son salaire net. Avec ces maigres revenus, Amal, un célibataire lui-même, élève 19 enfants maintenant. Les voisins l’appellent ‘le prof’. Beaucoup de ses écoliers devient hommes accomplis et il y a même des certains parmi eux qui professent aux lycées. Même un jeune élève est le professeur des écoles aujourd’hui où il instruit. Le prof Amal, âgé d’environ 56 ans, me l’informe avec un sourire satisfaisant.

19 enfants, âgés de 5 à 17 ans démurent au ‘ashram’ du prof ! Ils portent les vêtements ordinaires, un peu déchirées pour quelqu’un, mais propre. Selon le prof, ‘Je devrais dépendre seulement sur mon net salaire, il faut s’en débrouiller d’une certaine façon. Mais nous sommes tout contents.’ Leur nourriture inclut du riz, des lentilles, du poisson ou du curry. On pêche du poisson du petit étang de l’ashram. Mais on ne reçoit le plat du poisson chaque jour. Le prof informe en souriant qu’en hiver, avant d’aller à l’école, les petits appliquent l’huile moutard et défoulent bruyamment dans cet étang. Quelques pères des enfants travaillent comme laboureurs. Les autres enfants n’avaient pas de parent, et mêmes sont y orphelins. Si le prof pourrait apprendre la nouvelle de tel enfant infortuné, il l’amenait chez lui. En faisant signe aux deux-trois petits, le prof m’a chuchoté, « Leurs pères sont allés à la forêt pour ramasser du miel. Les tigres les ont mangés. Les mères mendient maintenant.» Leur ligne paraît tellement des autres petits de classe inférieure du village, mais ils ont certes la sécurité alimentaire. Tous les enfants vont à l’école. Il y a une école primaire et aussi un lycée près de l’ashram. Après avoir joué dans le parc de l’école, ils sont revenus chez eux, puis ils mangent du riz soufflé et préparent pour les études. « Pourquoi faites-vous le et êtes-vous encore célibataire ? » La réponse brève : Je l’aime beaucoup. Son inspirateur est aussi un prof. Monsieur Amal ajoute, « Lorsque nous faisions des études supérieures au collège Tangrakhali, Monsieur Sudhindranath Bhattacharyee était notre principal du collège. Il m’avait inspiré de le faire. Après la retraite, le prof s’était installé à Vivekananda rue à Kolkata. Mais nous faisons toujours des correspondances. »
-- Comment vous réglez telles toutes-dépenses ?
-- Difficile à le faire. Mais j’en continue d’une façon ou d’une autre avec mon salaire et des dons quelquefois. Les dons ne sont pas de l’argent en liquide. Par exemple, les vendeurs qui vendent les légumes verts, ils me les donnent gratuitement quelquefois.

Ce travail humanitaire continue à servir depuis 1990. De nombreux ONGS ont proposé de l’aider, mais le prof en a refusé. Pourquoi n’appliquez-vous pas la subvention gouvernementale ? Vient une réponse un peu philosophique : Si l’on partageait la pauvreté, la pauvreté des autres pourrait diminuer !
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