Critique du livre ‘Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur’ écrit par Harper Lee en anglais
Le roman intitulé ‘To kill a mockingbird’ est peut-être l’un des meilleurs ouvrages de 20e siècle. La romancière américaine, Harpar Lee, une octogénaire et recluse de la ville Alabama dans l’Amérique sud, pose des questions aigues au racisme à l’époque d’années soixante dans son roman en 1960. Elle n’a écrit aucun autre livre et c’est son roman unique qui lui a donné tout la gloire et toute la fortune.
Raconté sur la toile de fond des discriminations contre les afro-américains en vogue en mi-1930, l’écrivain a créé un personnage immortel dans un jeune avocat d’une petite ville imaginaire à Alabama et celui qui défend les droits de ses concitoyens noirs. L’intrigue du roman est la défense juridique de l’avocat pour protéger un jeune afro-américain innocent, accusé de viol d’une fille blanche. Mais honteusement, elle était violée par son père raciste. Donc, le thème de l’intrigue est plutôt adulte. C’est vrai que l’Amérique sud a témoigné le pire de l’esclavage excessif et la guerre civile et les droits civiques pendant 19-20e siècle. ‘L’oiseau moqueur’, c’est un oiseau innocent qui chante pour apaiser le cœur d’autres. Le titre du roman exprime vraiment le sentiment de l’écrivain qui décrie toujours contre le racisme et l’inhumanité.
Dans cet ouvrage historique on remarque la victoire de la vérité en dénonçant le racisme et l’haine contre l’humanité. L’avocat réussit finalement à libérer l’accusé d’accusation abominable. La trépidation sociale qui bouleversait tout le système civil en Amérique à ce moment-là est bien exposée dans l’œuvre.
Étant une étudiante de la loi, Harpar a ouvert dans le roman beaucoup de débats sur la profession légale et son importance sociale dans la société cultivée. Les éthiques des avocats et des gardiens administratifs dans une situation critique est souvent remet en question qui est l’essence de ce célèbre roman.
Cet œuvre de la justice sociale a gagné le prix Pulitzer en 1961 alors que plus de 30 milliers de copies de ce livre aient été vendus jusqu’ici et le roman a été choisi l’un de cent meilleures livres de 20e siècle. Le cercle littéraire fête le cinquantième anniversaire de ‘To Kill a Mockingbird’ avec beaucoup de fanfare cette année.
To Kill a Mockingbird est si populaire en France que ce roman est traduit en français trois fois aux titres différents: ‘Quand meurt le rossignol’ par Germaine Béraud en 1961, ‘Alouette, Je te plumerai’ par Isabelle Stoïanov en 1989 et maintenant ‘Ni tirez pas l’oiseau moqueur’ par Isabelle Stoïanov et Isabelle Hausser en 2005. Cet œuvre était filmée en 1962 où Gregory Peck avait joué le rôle du premier acteur en gagnant le prix Oscar.
Le roman intitulé ‘To kill a mockingbird’ est peut-être l’un des meilleurs ouvrages de 20e siècle. La romancière américaine, Harpar Lee, une octogénaire et recluse de la ville Alabama dans l’Amérique sud, pose des questions aigues au racisme à l’époque d’années soixante dans son roman en 1960. Elle n’a écrit aucun autre livre et c’est son roman unique qui lui a donné tout la gloire et toute la fortune.
Raconté sur la toile de fond des discriminations contre les afro-américains en vogue en mi-1930, l’écrivain a créé un personnage immortel dans un jeune avocat d’une petite ville imaginaire à Alabama et celui qui défend les droits de ses concitoyens noirs. L’intrigue du roman est la défense juridique de l’avocat pour protéger un jeune afro-américain innocent, accusé de viol d’une fille blanche. Mais honteusement, elle était violée par son père raciste. Donc, le thème de l’intrigue est plutôt adulte. C’est vrai que l’Amérique sud a témoigné le pire de l’esclavage excessif et la guerre civile et les droits civiques pendant 19-20e siècle. ‘L’oiseau moqueur’, c’est un oiseau innocent qui chante pour apaiser le cœur d’autres. Le titre du roman exprime vraiment le sentiment de l’écrivain qui décrie toujours contre le racisme et l’inhumanité.
Dans cet ouvrage historique on remarque la victoire de la vérité en dénonçant le racisme et l’haine contre l’humanité. L’avocat réussit finalement à libérer l’accusé d’accusation abominable. La trépidation sociale qui bouleversait tout le système civil en Amérique à ce moment-là est bien exposée dans l’œuvre.
Étant une étudiante de la loi, Harpar a ouvert dans le roman beaucoup de débats sur la profession légale et son importance sociale dans la société cultivée. Les éthiques des avocats et des gardiens administratifs dans une situation critique est souvent remet en question qui est l’essence de ce célèbre roman.
Cet œuvre de la justice sociale a gagné le prix Pulitzer en 1961 alors que plus de 30 milliers de copies de ce livre aient été vendus jusqu’ici et le roman a été choisi l’un de cent meilleures livres de 20e siècle. Le cercle littéraire fête le cinquantième anniversaire de ‘To Kill a Mockingbird’ avec beaucoup de fanfare cette année.
To Kill a Mockingbird est si populaire en France que ce roman est traduit en français trois fois aux titres différents: ‘Quand meurt le rossignol’ par Germaine Béraud en 1961, ‘Alouette, Je te plumerai’ par Isabelle Stoïanov en 1989 et maintenant ‘Ni tirez pas l’oiseau moqueur’ par Isabelle Stoïanov et Isabelle Hausser en 2005. Cet œuvre était filmée en 1962 où Gregory Peck avait joué le rôle du premier acteur en gagnant le prix Oscar.
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