La même image !

Pollution est le péril le plus grave du monde pour laquelle la civilisation est entièrement responsable – est-elle une déclaration si simple ?  L’accord de Paris (COP21) est-il capable de faire pencher la balance ? L’horizon de la ville Paris et sa proche banlieue est couverte de l’air pollué. En Inde, Delhi, la capitale de l’Inde l’a témoigné il y a quelques semaines où comme Paris, la transportation à Delhi a dû restreindre.                                   

Amma n'est plus.......

Le ministre en chef actuel, Jayalalithaa Jayaram de l’État Tamil Nadu dit appelée Amma (Mère en français) est morte le 5 décembre à l’hôpital après une maladie prolongée. Avec ce décès, une époque de populisme, de caprice et d’incertitude est finie dans l’horizon du monde politique indien.

Malgré toute critique contre lui pour ses mesures populistes différentes de bienfaisance aux pauvres au détriment des finances publiques, Jayalalithaa n’en avait rien dévié de cette voie et donc, devient ‘victorieuse’ à chaque fois, soit dans la bataille juridique soit les revenues disproportionnées disputables.

Le nom Amma est une marque soi-même au Tamil Nadu : Amma cantine, Amma eaux minérales, Amma ciment, Amma initiatives de soins de santé, Amma laptops pour les élèves, etc. Tout le monde de l’État pleure pour lui en jeûnant, c’est leur dernier hommage ! 

Promenade en calèche !

Démonétisation des billets de 1 000 roupies et 500 roupies indiennes tout à coup a gravement blessé les concitoyens ordinaires. Il est un fait établi que plus de 90% des Indiens traitent en liquide et ne sont pas connus de la transaction numérique du tout ! Les vendeurs de légumes de fournitures, les travailleurs, les fournisseurs de services et leurs acheteurs, tout le monde s’est adapté à l’argent liquide. Le gouvernement a soudain aspiré des grands billets qui tiennent environ 80% d’argents liquides totaux contre la circulation négligeable de nouveaux billets de 2 000 roupies et de 500 roupies.

L’affaire des propriétaires des voitures à chevaux, une image populaire à Kolkata en hiver, est gravement frappé par l’effet de démonétisation. Une promenade de 5 Euros par heure ne trouve pas ses passagers manque de l’argent liquide et est à la veille d’extermination cette saison. Qu’en fait-on ?                   

Mur de gentillesse !

Cette pratique est connue à l’étranger depuis longtemps – les biens excès à donner aux personnes dans le besoin. C’est un effort toujours significatif qui étend l’aide aux autres sans sacrifier la qualité de propre vie, mais en Asie, c’est une conception très nouvelle. Depuis quelques années des organisations tentent d’utiliser des marchandises domiciliaires utilisées des riches pour autre segment de peuple. Sans aucune publicité, des biens utilisés à partir des vêtements et des ustensiles aux literies et les meubles sont rangés ouverts devant certain mur ou des abris.  Les démunis les choisissent selon leur besoins sans aucune question.  C’est ‘mur de gentillesse’ comme on voir dans l’image au sud de la ville Kolkata devient un programme populaire appuyé par le support actif des ONGs, bon !