Friday, July 9, 2010

Critique du livre: Anita cherche mari

Critique du livre: Anita cherche mari, écrite par Anita Jain en anglais -
«Marrying Anita: A Quest for love in the New India» Traduite par Sophie Bastide-Foltz
«Anita cherche mari», c’est une autobiographie d’une NRI, journaliste financière et bonne voyageuse, Anita Jain qui fait un voyage en Inde cherchant son mari. Cette célibataire de 32 ans et habitante à New York, ayant été frustrée par l’approche insensible et mécanique des jeunes là-bas, revient chez ses ancêtres pour choisir un mari. S’adaptée bien dans la vie américaine où elle a vécu depuis 3 ans, elle est très curieuse du mariage arrangé qui est une caractéristique traditionnelle en Inde ! Elle est aussi perplexe par la dévotion totale de ses parents l’un à l’autre durant leur mariage de 40 ans et celle que l’encourage à s’y trouver son partenaire. Ses parents se sont installés en Amérique pour changer leur destin il y a trois décennies où elle revisite pour son conjoint.
Ses rencontres avec des maris futurs indiens deviennent finalement une catastrophe ce qui est le thème de cette autobiographe. Avec un ton souvent acerbe et impoli Anita raconte ses expériences, inconnues jusqu’alors à elle. Quant à elle, la vie cosmopolite à Delhi n’est pas très différente celle de New York. Trépidante vie nocturne que les jeunes indiens s’accoutumés maintenant l’étonne beaucoup. Malheureusement, son séjour à New Delhi pour une année ne porte pas des fruits pour qu’elle rencontre des célibataires indiens. En revanche, Anita découvre une vie cosmopolite de la capitale du grand pays toujours tirée par ses coutumes traditionnelles et sa culture occidentale. Elle se trouve aussi des jeunes femmes trop habituées de la vie nocturne contrairement à son imagination des femmes indiennes. Comique personnages qu’elle se trouve nez à nez de choisir son mari futur dont les conséquences sont plus hilarantes et désastreuses.

On voit ici une image de l’Inde moderne dans les yeux d’une étrangère qui choque peut-être les indiens comme je me sens. Car c’est une représentation tronquée et donc handicapée. Alors qu’il y a des origines sur l’affirmation bizarre de ce jeune autobiographe, mais ce n’est pas l’image seule de l’Inde ! Malgré toute mondialisation, la différence culturelle reste toujours parce que les indiens ne veulent pas défier le concept traditionnel.

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