Friday, February 24, 2017

Poème en français !



Rendez-vous gagnant – Un poème écrit par 
Rabindra Nath Tagore et traduit par Manas Kumar Basu

Un moine appelé Upagupta
S’était endormi au bord de la route  
dans une ville fortifiée Mathura –
Lumières là étaient éteintes par les vents,
alors les citadins restaient à l’intérieur, 
Les nouages noirs de mousson
enveloppent le ciel étoilé.   


Soudan les sonores jingles des chaînes  
de cheville étaient étendus à côté !
Le moine s’est brusquement réveillé, 
Les réflexions de rêve disparaissaient soudan.  
Ses yeux pitiés étaient brillés  
par une lampe lumineuse.

La danseuse du palais, qui était 
séduisante avec exubérance marchait sur 
le chemin de son amant. Richement vêtue
avec des bijoux, réverbérés avec le son mélodieux -
Elle s’arrêtait au moine de s’excuser, 
ses pieds sont tombés sur lui.  


Elle regardait ce jeune moine au teint mat 
à la lampe de son main - 
Ce gentil jeune était toujours souriant, 
aux yeux charitables mais rayonnants, 
Dont le visage clair s’assurait      
des bienveillances s’infiltraient partout.


Avec ses yeux gênés elle disait  
avec sa voix mélodieuse,    
«Excusez-moi, jeune moine, s’il vous plait,
Veuillez-vous venir chez moi,
On ne restait pas sur ce trottoir dur   
car cela vous blesse.» 

Le moine répondait avec une voix triste, 
«Oh belle, il n’est pas le temps propre 
à vous accompagner, il vaut mieux que 
vous allez où vous planifiez à visiter avec vos
riches décorations. Lorsque le temps propre vient,
j’irais chez vous moi-même». 


Une tempête aux éclairs frappait  
tout à coup le champ entier.
La femme tremblait de la peur
Comme les tonnerres rugissaient 
sinistrement pour dénoncer de l’ironie 
sombre des incertitudes de la vie humaine.  
  
                         ------------

La mousson n’est pas encore finie
qu’une soirée de mois Chaitra arrive. 
Les vents sont ardemment excités,   
des boutons fleurissaient sur chacun  
des arbres.  Et des fleurs parfumées
manifestaient leur esprit partout.      


Les sonores intoxicantes de flûtes étaient 
étendues au loin comme passaient les 
vents lentement.  La ville était désertée, 
les citadins assemblaient dans la forêt pour
témoigner la fête de printemps -    
La pleine lune révélait sa beauté alors  
elle observait la ville déserte en silence. 

Le moine allait seul sur une route désolée, 
c’était une nuit de pleine lune.
Les oiseaux chantaient des arbres 
supérieurs de temps en temps.
Est-ce que ce rendez-vous gagnant
arrivait finalement après si longtemps ?


Le moine traversait la ville,  Et allait à 
l’extérieur du mûr de la ville.  S’arrêtait 
finalement devant les douves  -
Comme il voyait une femme restait sur
le trottoir sous un arbre de mangue.  
Qui était cette femme restait près de ses pieds !


Frappé par la variole mortelle qui 
l’avait complètement défiguré – 
Son corps entier devenait noir profond.
Les citadins l’avaient jeté en dehors 
des douves afin de se protéger 
de la maladie infectieuse et mortelle.    


Le moine s’asseyait et plaçait sa tête   
sur ses genoux –
Et versait l’eau dans sa bouche sèche,
Essuyait son cheveu avec des prières,
Embaumait son corps avec des pétales
de fleurs comme des confettis.

Les boutons tombaient comme les oiseaux 
chantaient alors la nuit se baignait de la 
pleine lune. «Qui êtes-vous, mon maître?» 
a criée la femme. Le moine répondait, 
«Une fois vous m’invitais, voilà Basabdutta,
 j’y arrive pour vous.»           

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